autre témoignage :
J'ai tenu compagnie à une parente très âgée pendant sa dernière maladie, qui traînait en longueur. Je participais aux soins qui lui étaient donnés, et pendant ce temps tous les membres de la famille priaient pour elle, afin qu'elle retrouve la santé. A plusieurs reprises sa respiration s'arrêta, mais on réussissait à la ranimer. Enfin, un jour, elle m'a regardée et m'a dit : " Jeanne, je suis allée de l'autre côté, dans l'ailleurs, et c'est magnifique là-bas. Je ne demande qu'à y rester, mais ce ne sera pas possible tant que vous serez tous là à prier pour que je reste avec vous. Vos prières me retiennent ici. Je vous en supplie, ne priez plus ! " Nous avons obéi, et elle est morte peu après.
Ce que nous dit une personne à qui ce phénomène est arrivé :
C'est vraiment très important de découvrir que d'autres ont eu la même expérience, parce que je ne m'en rendais pas compte. Je suis franchement heureux de l'apprendre et de pouvoir me dire que d'autres ont passé par là eux aussi; maintenant, au moins, je sais que je ne suis pas fou.
J'avais toujours considéré cela comme tout à fait réel, mais je préférais ne pas en parler, par crainte qu'on ne me regarde en pensant : " Celui-là, quand il a perdu connaissance, il a également perdu l'esprit! "
Depuis lors, je n'ai plus cessé de m'interroger sur ce que j'ai fait de ma vie, sur ce que je vais faire de ma vie... Mais depuis ma " mort ", à la suite de mon expérience, j'ai brusquement commencé à me demander si ce que j'ai fait, je l'ai fait parce que c'était bien, ou seulement parce que c'était bon pour moi. Auparavant j'agissais sous le coup d'impulsions; maintenant je réfléchis d'abord aux choses, calmement, lentement. Il faut que tout passe d'abord par ma conscience et soit bien digéré d'abord.
Je m'efforce de faire en sorte que mes actes prennent un sens, et mon âme et ma conscience ne s'en portent que mieux. J'essaye d'éviter les préjugés, de ne jamais porter de jugements sur les autres. Je cherche à faire ce qui est bien, parce que c'est bien et non pas parce que c'est bon pour moi. Et il me semble que ma compréhension des choses s'est infiniment améliorée. Je ressens tout cela à cause de ce qui m'est arrivé, à cause des lieux que j'ai visités et de tout ce que j'y ai vu.
autre témoignage :
A la suite de ces évènements, j'ai presque eu l'impression d'être remplie d'un esprit nouveau. Depuis lors, on m'a fait souvent remarquer que je produisais un effet calmant sur les gens, agissant de façon immédiate lorsqu'ils se sentent soucieux. Et je me sens mieux accordée avec l'entourage, il me semble que j'arrive à deviner les gens beaucoup plus vite qu'avant.
témoignage suivant :Depuis mon accident, j'ai souvent l'impression de déchiffrer les pensées et les vibrations qui émanent des gens; je perçois aussi leurs ressentiments. J'ai souvent été capable de savoir d'avance ce que les gens vont dire avant qu'ils n'ouvrent la bouche. On aura du mal à me croire, mais il m'est arrivé des choses bizarres, très bizarres, depuis lors. Un soir, chez des amis, je devinais les pensées des invités, et quelques personnes qui étaient là et qui ne me connaissaient pas se sont levées pour partir; elles m'avaient pris pour un sorcier, je leur avais fait peur. Je ne sais pas du tout si c'est quelque chose qui m'a été donné pendant que j'étais mort, ou si je possédais déjà ce don sans le savoir et ne m'en étais jamais servi jusqu'à ces évènements.
Je crois bien que cette expérience a introduit un élément nouveau dans ma vie. Je n'étais qu'un enfant quand cela m'est arrivé, j'avais à peine dix ans; mais depuis, et durant toute ma vie, j'ai gardé la conviction que la vie continue après la mort; cela ne fait pas l'ombre d'un doute pour moi, et je n'ai pas peur de mourir. Pas une seconde. J'ai vu des gens qui ont cette peur, cette terreur. J'ai toujours envie de sourire quand j'entends des gens douter qu'il y ait un au-delà, ou décréter : " Après la mort, il n'y a rien." Je pense alors intérieurement : " Ils ne savent pas ."
autre témoignage :
( Pendant que je me trouvais de l'autre côté ), j'eus le sentiment que deux choses me seraient totalement interdites : me tuer, ou tuer quelqu'un... Si j'en venais à me suicider, ce serait comme si je refusais le don de Dieu en le lui jetant à la face... Tuer quelqu'un d'autre, c'est se mettre en travers du plan que Dieu a conçu pour cet homme...
le travail du Dr Moody a une suite :
ce livre du Dr Melvin Morse poursuit le travail du Dr Moody. Il est disponible en France depuis fin août 2002. Utilisez ce lien pour voir sa présentation et le commander chez notre partenaire.